SYDNEY ▬ we love because it’s the only true adventure.

Sydney, Dwight

la meilleure façon de résister à la tentation
c'est d'y céder.

ELIASTAHAN.COM@siteperso - o. wilde
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NOM : Dwight ; PRÉNOM : Sydney ; AGE : 21 ans ; ORIGINES : Afro-américain ; STATUT : Célibataire, mais a quelqu’un en vue. ; MÉTIER : Stagiaire en marketing dans une boîte d’édition et ancien escorte boy ; TRAITS DE CARACTÈRE : Attentionné, attentif, travaillant, communicatif, créatif, décidé, loyal, studieux, malin, familier, jaloux, dragueur, pointilleux ; ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel ; AVATAR : Keith Powers ; PV / SCENARIO OU INVENTE ? : Inventé ;

Awful Truth

Déteste avoir les cheveux longs, ce passe le clipper à chaque matin. ▬ Saute toujours le petit déjeuné, soit parce qu’il s’est réveillé en retard ou simplement parce qu’il n’a pas faim. ▬ Ne sait pas chanter, mais le fait tout de même. Il a néanmoins une préférence pour la douche. C’est plus discret et intime. ▬ Doit toujours sortir sa calculatrice s’il veut calculer. Le calcul mental ce n’est pas pour lui. Il se trompe toujours. ▬ Il a terriblement honte d’avoir été escort, il n’en a jamais parler à personne. Autant famille qu’ami. Il a beaucoup trop peur qu’on le juge à propos de cela. Il lui reste d’ailleurs de l’argent de cette période, mais il n’y touche pas. ▬ Plus jeune il lui est arrivé de se bagarrer avec d’autres enfants à cause de la couleur de sa peau. ▬ Il a vu son frère mourir devant ses yeux à 16 ans, il n’en parle jamais et fait comme s’il avait oublié cette tragédie, tout comme celle de la mort de sa mère. Seulement, il arrive encore de rêver de ce moment où il a tenu Bastian dans ses bras avant qu’il ne meurt. Il en a toujours voulu au secours de ne pas être arrivé plus vite. ▬ Il se déplace dans la ville en transport en commun, pour un taxi c’est abusé et puis ainsi il peut écouter sa musique tranquillement. ▬ Il fait un jogging chaque soir en rentrant de travailler, il aime bien la tranquillité de la ville quand les gens mangent et les lumières qui envahi celle-ci. ▬ Il ne sait pas cuisiner, enfin il sait faire le strict minimum pour ne pas carboniser sa cuisine. Il préfère de loin se commander à manger.

PSEUDO/PRENOM : monocle. ▬ Alice ; AGE : 24 ans ; OU AS-TU CONNUS LE FORUM : Justine ♥ ; FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7j/7j ; AUTRE : i luv u ♥♥♥

Was It Good for You ?

Une toux s’élevait à l’autre bout du couloir dont le raclement semblait venir de loin, trop loin. J’entendais tellement souvent cette toux, que maintenant je ne me levais plus pour aller voir ce qui se passait. Assis sur mon lit, je relevais tout simplement la tête pour regarder l’ouverture que j’avais laissée avec ma porte. Je fronçais légèrement mes sourcils, la toux s’amplifiait. J’entendais ce roulement s’incrustant dans la gorge lui donnant une vibration encore plus dure. Déposant mes orteils sur le sol de lame de bois, je me levais, laissant mon corps de garçon de sept ans se diriger vers la porte. « Maman ? », disais-je en prenant une voix inquiète. Malgré le fait que j’étais « habitué », je n’aimais toujours pas entendre cette toux. Mon visage s’approchait de l’ouverture et je laissais mon œil regarder par celle-ci. Une ombre cacha mon regard et je le relevais pour voir mon frère Bastian qui s’empressait de repousser ma tête à l’intérieur. « Hé ! », disais-je avec étonnement en déposant mes mains sur son poignet, alors que sa main prenait la largeur de mon front. « Va te coucher minus ! » Je m’arrêtais, inutile de me débattre avec lui. Les grands sont plus forts que moi. Je me reculais, plissant mon nez et relevant mon regard vers mon frère. Quelques plis se formèrent entre mes sourcils. « J’suis pas un minus ! », répliquais-je, bien que je savais très bien que j’étais petit. Après tout, j’étais le plus petit de ma classe. « Veux pas dormir ! », rouspétais-je finalement en le regardant d’un air de défi. Je ne sentais pas la fatigue, bon je me mentais surtout à moi-même, puisqu’en disant cela je finissais ma phrase en poussant un bâillement long et qui semblait durer une éternité. Il me regardait, laissant un sourire supérieur prendre place sur son visage. Mon frère était quelqu’un de bien, mais j’aimais avoir le dernier mot. « Allez au lit ! » Je poussais un soupire, me hissant sans mal sur mon lit, tirant les couvertures pour ensuite m’y glisser. Il me borda et parti en éteignant les lumières. Notre maison n’était pas très grande et les murs semblait fait un carton. Après avoir quitté ma chambre, Bastian allait l’allumer sa stéréo laissant une musique des bas quartiers couvrir les sons de la toux de notre mère. Ainsi, il s’assurait que Phoenix, ma jeune sœur, et moi puissions dormir sans trop de difficulté. Il avait ce rôle de père envers nous, c’était ce que père lui avait demandé de faire avant de repartir en mission. Le nuit était tombée et je me retournais dans mon lit, il faisait chaud, terriblement chaud. J’ouvrais les yeux tandis que des pas pressé se faisaient entendre dans le couloir. Je me redressais sur mes coudes essayant d’écouter ce qui se passait dans la maison. J’entendais alors la voix de Bastian qui semblait parler à quelqu’un. Me levant, je me dirigeais vers le couloir. Dans le noir le plus complet notre maison semblait encore plus délabrée qu’en plein soleil. Au bout du couloir, une lumière dansait derrière les pas précipités de mon frère. Je ravalais difficilement ma salive, ouvrant ma porte assez grande pour pouvoir me glisser en dehors de ma chambre. Sous le poids de mes pieds résonnaient le grincement des lames de bois, me faisant grimacer à chaque bruit. « Bastian ? » J’entendais sa voix, il semblait paniqué. Une petite tête bouclé sortait d’une chambre et déposant mon index devant mes lèvres je lui faisais signe de ne faire aucun bruit. Je continuais mon avancer vers la chambre de ma mère. Timidement, je me glissais dans la chambre. « Maman ? Bastian ? » Je me figeais aussitôt en voyant la silhouette de ma mère étendue dans son lit. Elle semblait dormir et pourtant elle avait les yeux grands ouverts. Je faisais un pas vers l’avant, mais mon frère me remarquait alors. Il se dirigeait vers moi, me repoussant pour que je quitte la pièce. Je ne comprenais pas, peut-être n’y avait-il rien a comprend ? Pourtant, j’avais l’impression que quelque chose de grave était arrivé. Au lieu de retourner dans ma chambre, je me glissais dans celle de Phoenix, allant me coucher avec elle. J’entendais ses questions, mais je restais taciturne ne sachant de toute manière pas quoi lui dire.

Une année s’était écoulé depuis la mort de Bastian, j’arrivais à m’en remettre, mais je devais bien prendre en considération que pour l’avenir ça bloquait un peu. Après le décès de ma mère, c’était mon frère et ma tante qui avait pris soin de ma sœur et moi. Maintenant, j’étais seul enfin façon de parler. J’avais quelque peu changé depuis la mort de Bastian, usant de mes faux papiers j’entrais dans les bars plus que huppé. Avec les mois, j’avais fait ma place. On avait même fini par me remarquer. « Bonsoir. » Je tournais la tête sur une grande femme au teint pâle et de longues boucles blondes encadraient son visage. Je laissais planer un sourire sur mes lèvres, accoudant mon coude sur le comptoir. Je la saluais, dévoilant un sourire sur son visage. Autant dire que j’avais un certain succès avec les femmes beaucoup plus âgé que moi. En même temps, je ne faisais pas mes dix-sept ans. Je la regardais, discutant de tout et de rien. Alors que j’allais partir, elle m’offrit de l’argent, je la regardais étonné. La possibilité de vendre mon corps, ne m’était jamais venu en tête. Seulement, j’avais besoin d’argent. Si je voulais entrer à l’université et me payer mes études je devais me trouver un emploi. Je restais un instant là sans bouger, hésitant. Oh et puis une fois n’est pas coutume, non ? J’acceptais son argent, mais aussitôt l’argent dans ma poche j’étais propulsé dans un engrenage sans fin. J’ignorais comment, mais mon nom avait circulé à un point que je sortais plus souvent du bar accompagné que seul. J’aimais cette sensation de ne pas être prit pour un enfant et je réalisais que finalement, les femmes plus vieilles m’intéressaient beaucoup plus que celle de mon âge. Je n’étais pas plus mature qu’un autre, mais entre leur bras j’avais ce pouvoir de me sentir homme. Tout ce qui ne plaisait pas c’était l’argent que je recevais. Ça avait le don de me remettre la réalité en pleine figure. Elles n’avaient rien à faire de moi, je n’étais qu’un jouet pour les satisfaire. J’étais idiot de croire que je pouvais trouver l’amour avec l’une d’elle. Mon romantisme avait bien raison de moi. Une fois mon argent amassé, je quittais ce monde. C’était mieux pour moi. – Où es-tu ? Je regardais le message texte s’afficher sur mon écran de portable, poussant un soupire lasse. Je n’avais pas envie d’y répondre, de toute façon à quoi bon ? « C’est qui ? » Je relevais la tête pour regarder la jeune fille à mes côtés. « Personne. » Je fermais mon portable, alors qu’elle entrelaçait ses doigts aux miens. Je me défaisais de son emprise infime soit-elle. Ce n’était pas parce que j’avais quitté ce milieu que j’avais changé. Je ne ressentais rien pour les filles de mon âge, je ne pouvais l’expliquer, mais c’était ainsi. Je me passais la main sur la bouche, retournant à mes révisions, car dans quelques mois, j’allai enfin entrer à l’université.

« Je t’en prie. » Je retenais son poignet, alors qu’on se trouvait dans une partie moins achalandé du bureau. Je lui avais proposé un rencard, mais elle tardait à me donner sa réponse. J’étais impatient de connaître la réponse. Je savais que ce n’était pas chose facile, déjà avec notre différence d’âge. J’étais un gamin et elle était tellement femme. Mais ce n’était pas tout, c’était aussi ma supérieur indirectement. Étant stagiaire dans le département de marketing et elle la fille du grand patron, enfin voilà. Ça n’avait rien de bien simple tout cela. Pourtant, aussitôt que mon regard s’était posé sur son sourire, je m’étais sentit fondre. Je savais dès l’ores que j’allais m’en mordre les doigts. J’avais tout de même tenté de m’approcher d’elle. Chose plus complexe que je ne l’aurais cru et j’y étais parvenu à mon plus grand étonnement. Je relevais mon regard vers elle, avant de relâcher son poignet en entendant des paroles se dirigeant vers nous. Je replaçais le nœud de ma cravate, tout en la soutenant du regard. Je voulais ma réponse, maintenant. J’avais peur d’un refus, mais je tentais tout de même. J’avais cinquante pour cent de chance qu’elle me dise oui et cent pour cent de chance que ce soit non si je ne lui demandais pas.

» (H) Groupe 1 ◦ Sydney, (reste 3 places)
» ≈ love me like you do.
» (L) love interest and co
» ○ is there so much hate for the ones we love
» crazy in love

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