On dit « Faute avouée à moitié pardonnée. ». Est-ce vrai ? Cela dépend de la personne bien évidemment. Relation normale du moins une relation construite de manière forcée et il y a bien longtemps, c’est dans ça qu’est notre chère Angeles. Oui parce que bien évidemment on se dit qu’elle a la vie parfaite parce qu’elle a un mari avec qui passer ses jours et ses nuits mais de base c’est une jeune femme qui occupait tous les jours et toutes les nuits l’esprit de notre jeune femme. Tromper la personne ce n’est pas une chose qui laisse indemne. Enfin ça dépend si on est vraiment amoureuse de la personne et que sous une pulsion on trahit alors oui là on est potentiellement perdu après. On se demande ce que l’on a fait, comment on va pouvoir s’en sortir. Dire la vérité ou tout garder pour soit. Cela peut être aussi une tromperie désiré et pour le coup c’est assez le genre de ce qui est arrivé à notre chère Angeles avec Chris. Quand elle a été plus loin que le bavardage avec Chris c’est disons quelque chose qui a été consentie. Peut être avait-elle l’impression que ce n’était pas le cas. Parce qu’à vrai dire depuis quelques jours notre jeune femme continue bien évidemment de faire sa petite vie mais le fait de rentrer chez elle et de devoir regarder son mari dans les yeux n’est disons pas tous les jours faciles.

Elle ne sait pas si elle doit dire quoique ce soit à son mari. A vrai dire elle a bien caché à ce dernier qu’elle était bi ou encore qu’elle avait longtemps pensé à une femme qui partageait sa vie autrefois alors qu’elle avait commencé à former sa vie et sa relation avec lui. Elle peut bien lui cacher qu’elle l’a finalement trompé avec un autre homme. Non ? De toutes manières pour l’instant c’est le cas et ça le restera jusqu’à nouvel ordre. Elle se sent tellement mal qu’elle a à vrai dire décidé d’aller voir la personne en question, oui la personne avec qui elle a eut une relation plus qu’amicale, avec qui elle a été jusqu’au physique et qui concrètement est bien foutu. Il faut bien trouver quelque chose qui aurait put la faire fondre alors qu’elle est mariée. Bien que ce soit un mariage fait il y a des années et dans l’intérêt des parents pour leur fille. En tout cas elle était en route, elle voulait lui parler de ce qu’ils avaient fait la dernière fois. Dire comme toutes personnes qui s’en veulent, que ce n’était pas bien, qu’ils n’auraient pas dut. Qu’elle s’en veut terriblement et n’arrête pas d’y penser. Mais à quoi n’arrête-t-elle pas de penser ? A cette chose qu’elle n’aurait pas dut faire. A l’erreur ou bien au contraire plutôt à ce moment qu’elle a apprécié et savourer quand elle était avec Chris. Est-ce que c’est le physique de monsieur qu’elle n’arrive pas à s’ôter de la tête ou juste sa mauvaise action. En tout cas elle est devant la porte de l’endroit où réside Chris, le doigt sur la sonnette de ce dernier en attendant qu’on lui ouvre.

Aller au travail peut être une corvée des fois mais quand on aime apprendre on aime généralement enseigner. Essayer de procurer aux autres ce plaisir que l’on a d’apprendre. Après bien évidemment on ne peut pas aimer apprendre tout sur tout. Il y a des matières, des domaines qui sont plus intéressants que d’autres à nos yeux. Mais dès qu’on a trouvé CE domaine alors c’est parti. Et puis si les élèves choisissent une filière en général c’est qu’ils la trouvent intéressante, qu’ils apprécient un minimum ce qu’ils vont entendre en cours. Et puis quand on est professeur en langue il faut s’accrocher. Parce qu’entre les étudiants qui ne font pas un effort sur l’accent et ceux qui ne se montrent pas du tout motivé par ce qu’on leur enseigne pendant le cours ce n’est pas facile. Bien évidemment et heureusement il y a toujours les élèves bons qui eux participent aux cours et donnent envie de revenir, l’impression de servir réellement à quelque chose finalement. Qui confirment que finalement ils ont besoin de nous et que l’on doit revenir le lendemain pour continuer et perfectionner l’enseignement que l’on a commencé en début d’année avec eux. La journée de travail d’Angeles s’était plutôt bien passé, elle avait terminé de modifier un fichier qu’elle devait montrer à ses élèves en amphithéâtre et de corriger quelques copies qu’elle devait rendre pour un cours en petite salle en fin de journée. Elle avait plus ou moins eut le temps de s’en occuper chez elle mais des fois il faut mettre un terme à ce que l’on fait pour le travail afin d’avoir un semblant de vie de femme.

Cependant en fin de journée, son esprit parti une personne Chris, elle se souvenait très bien de ce qui avait eut lieu entre eux et à vrai dire comment l’oublier parce qu’elle n’arrêtait pas de se sentir coupable vis-à-vis de son mari même si au final ce n’est pas un mariage qu’elle a amené à avoir lieu. Mais bon on s’y fait à ce train-train de couple jusqu’à ce que finalement on en vienne à casser ce train-train quotidien et à aller voir quelqu’un d’autre. Du moins il faut croire que c’est ainsi. Pendant que les étudiants étaient occupés avec un texte fourni par Angeles, cette dernière envoya un message à Chris afin de lui dire qu’elle devait le voir afin de parler. Oh que oui elle avait besoin de lui parler, elle ne supportait pas de devoir penser sans cesse à ce qu’ils ont fait et de s’en vouloir. Elle devait lui dire qu’ils n’auraient pas dut et qu’ils ne doivent surtout pas continuer ainsi. Par conséquent soit ils ne doivent plus du tout se revoir quitte à s’éviter soit il va être nécessaire de se contrôler d’avantage même s’il n’est arrivé qu’une fois jusqu’à présent de faire autre chose que de parler ensemble. Enfin bref de toutes manières elle était en chemin, l’interphone avait été la première étape et on lui avait indiqué qu’elle devait aller jusqu’au dernier étage afin de se retrouver chez lui. Elle suivit bien évidemment les indications, le but n’étant pas de se perdre. Chris ouvrit alors la porte quand elle fut devant et afficha un large sourire indiquant qu’il était vraiment très ravi qu’elle est appelé. Elle le regarda. Mon dieu comment pouvait-elle ne pas se rappeler pourquoi elle avait craquer physiquement pour lui la dernière fois.

« Chris…tu sais pourquoi je suis là et tu sais très bien que je ne suis pas du tout bien par rapport à…enfin tu sais de quoi je parle. Je sais que ça t’amuse…suffit de te voir sourire. »

Non surtout ne pas sourire à son tour cela serait montré que l’on est amusé et séduit par le sourire de ce dernier. Au contraire on est fâchée d’avoir finalement céder, d’avoir été faible sur ce point.  Elle vit le canapé où il semblait être installé précédemment, elle prit place sans vraiment demandé au préalable puis elle lui demanda néanmoins poliment.

« Dis…tu aurais un truc à boire ? Un soda si tu as s’il te plait. »

Par rapport à quoi ? Il n’était tout de même pas sérieux. Non, bien évidemment qu’il n’était pas sérieux et qu’il se doutait de quoi Angeles était en train de lui parler. En même temps la dernière fois qu’ils étaient ensemble ce n’était certainement pas une partie de scrabble qui avait eut lieu entre eux. Alors il ne peut pas passer trois cent ans à se questionner sur le sujet qu’elle essaye d’aborder. Il suffit de se souvenir de leur dernière entrevue, chercher quelle était la chose qui leur a prit le plus de temps à faire ou encore de quoi ils ont put parler. En l’occurrence ils ont plus fait quelque chose que parler. Du coup ce n’est pas trop difficile mais Chris est le genre d’homme taquin ce qui n’est pas pour déplaire en général mais disons que quand on est en période de stress, que l’on est un peu tendue c’est assez difficile d’apprécier ce petit détail, cette façon d’être. On est moins apte à trouver la chose aussi drôle que quand on est détendu comme dans la vie de tous les jours. Mais alors que ce dernier était en train de lui répondre qu’il ne voyait vraiment pas de quoi elle pouvait être en train de parler, elle lui lança un regard plein de désespoir et limite haineux qu’il ne s’en souvienne pas ou même qu’il soit en train de feindre une perte de mémoire de ce moment là.

« Chris…un peu de sérieux s’il te plait… »

Finalement après avoir prit un bon moment pour se payer sa tête cependant s’en suivit un silence puisque ce dernier profitait sans doute de la tête qu’elle était en train de faire en tout cas il daigna enfin répondre et heureusement puisque ce fut pour finalement lui dire que bien évidemment il voyait de quoi elle voulait parler.

« Que j’attendais depuis des années…t’es en train de dire que ça fait des années que je rêve de tromper mon mari. Belle image que tu as de moi… »

En vrai elle se fout bien de l’image que ce dernier peut avoir d’elle parce qu’elle sait très bien ce qu’elle vaut enfin sur ce point mais bon elle ne peut pas non plus laisser tout le monde dire n’importe quoi sur elle. Après on peut laisser les gens se faire des idées sur certains points ce n’est pas un problème tant que les gens gardent leurs idées pour eux et ne prennent pas un malin plaisir à parler autour d’eux histoire de créer des ragots, des médisances. Enfin bon malgré les propos de ce dernier, elle n’en resta pas là et prit place sur le canapé de ce dernier lui demandant un petit peu de soda s’il en avait. Ce dernier sans rien ajouter à ce propos pour l’instant, lui amena une canette de soda qu’il lui donna. Cependant il avait également prit un verre de vin pour lui et un deuxième verre au cas ou elle en voulait. Enfin dans la logique déjà chose cela devait être pour ça qu’il en avait prit deux. Elle fit la moue.

« Oh….Chris tu sais que je ne suis pas très vin en plus je conduis pour rentrer. Bon au pire tu m’en mets vraiment un peu et puis je finirais au soda mais vraiment peu pas quasi ras bord. »

Après lui avoir donc donné l’autorisation en quelque sorte de pouvoir lui verser du fin s’il le désirait puisqu’après tout s’il avait prit le temps de prendre un autre verre ce n’était pas pour rien, il prit place à son tour sur le canapé. Alors qu’il y avait largement la place sur ce dernier, il se mit néanmoins assez proche de notre professeur d’université, cette dernière le regarda hésitant entre bouger son regard ou le garder rivé sur son visage.

« Discuter…c’est un grand mot. Je voulais surtout te dire que enfin ça sonne comme un discours cliché mais en gros on aurait vraiment pas dut faire ça. On a clairement fait une erreur. Non ? Enfin c’est même pas une question en réalité. Je te dis que l’on a fait une erreur. J’arrête pas d’y penser c’est pas normal…je peux pas rentrer chez moi et dire « Salut mon cœur au fait je t’ai fait cocu ! ». T’imagine un peu le bordel. »

Etait-ce le stress qui était en train de lui faire dire ce genre de bêtise ou c’était juste la fatigue. Dans tous les cas il faut vraiment qu’Angeles se mette à respirer un bon coup. Peut être était-ce Chris qui la mettait mal également.

Rire. Il fallait vraiment trouver l’envie de rire quand on a perdu le contrôle de ce qui nous arrive dans la vie. En même temps elle n’avait pas forcément l’impression d’avoir vraiment eut le contrôle de tout dans sa vie. Rien que pour son mariage c’était loin d’être une prise de décision de sa part. Si cela ne tenait qu’à elle, ce n’est certainement pas avec cet homme qu’elle aurait fait sa vie mais plutôt avec une autre personne et qui plus est une personne du même sexe qu’elle. Cet homme a-t-il donc raison ? Faut-il mieux sortir de sa routine et s’aventurer hors des sentiers afin de voir si ce n’est pas cela qu’il nous faut, si ce n’est pas mieux que le quotidien que l’on se farci et qui ne change pas du tout au fil des jours.

« C’est sûr que ça t’arrange ce genre de petit discours…si je pouvais penser comme toi tout irait bien. »

Prendre un verre de vin afin de se vider la tête. C’est totalement le genre d’idée pré-faite et les disquettes faciles à balancer. Boire pour se décontracter, pour oublier. Enfin si on suit la logique, l’alcool est la solution à beaucoup de choses. Se prendre moins la tête. Voilà le maitre mot de ce cher Chris. Il fallait absolument que la jeune femme se calme, qu’elle arrête de stresser et de se prendre la tête. De manière général mais pour le coup cela concernait bien évidemment la soirée qu’ils avaient passé ensemble et dont elle est venu lui parler. Elle n’est pas arrivé chez lui afin de faire une partie de scrabble. C’est bien entendu pour lui parler de ce qui s’est déroulé entre eux.

« C’est aussi facile à dire qu’on le voulait tous les deux…peut être que c’est vrai d’un côté mais c’est aussi le résultat d’une pulsion. Comment tu arrives à penser ainsi ? Aussi positivement. J’ai beau ne pas être de nature pessimiste j’avoue que tu me fascine avec ton optimiste. »

Être optimiste c’est bien, c’est d’ailleurs quelque chose de courant aussi pour notre jeune femme. Cependant pour ce qui s’était déroulé entre eux, elle avait vraiment du mal à s’imaginer les choses positivement et c’est plus le pessimisme qui s’emparait d’elle que l’optimisme. Heureusement du coup que Chris était là. Elle avait prit le verre qu’il lui avait donné et donc au lieu de boire le soda qu’elle avait aimablement demandé précédemment, elle fit comme lui et but du vin. Quand ce dernier déposa son verre sur la table, elle sentit la main de Chris frôler sa cuisse et frissonna légèrement sans rien dire, jetant simplement un œil à l’homme qui venait de bouger. Un moyen pour permettre à Angeles de prendre conscience des choses. Cela ne semble pas très difficile à deviner ou du moins si on arriver à comprendre la façon de penser de Chris, on devine aisément ce qu’il a en tête. Après cela peut également être tout autre chose, après tout il veut peut être surprendre en pensant autrement pour une fois.


« Un moyen de me faire prendre consciences des choses ? Intéressant…tu ne te prendrais pas pour monsieur « j’ai réponse à tout par hasard ». En tout cas je me demande bien quel remède miracle tu peux avoir. »

Est-ce qu’elle se doutait bien de quoi il était en train de parler ou était-ce tout simplement la vérité et qu’elle n’avait pas la moindre idée de ce qui pouvait trainer dans la tête de cet homme. Cela peut être à vrai dire autant de la provocation pour ce dernier que de la pure sincérité. Dans tous les cas c’est à savoir si Chris sera dans l’idée de lui expliquer immédiatement sa manière de faire ou juste d’essayer de comprendre les dires de la jeune femme.

Chris est vraiment ingérable. Prendre Angeles au mot, se jouer de ce qu’elle peut utiliser comme termes c’est vraiment petit. Des fois c’est fortement utile et effectivement cela serait un mensonge de dire qu’elle ne le fait pas mais à croire que pour ce dernier c’est tout simplement une habitude. Quelque chose qui n’est pas du tout anodin chez lui. Cependant il fit remarquer au passage qu’il espérait tout de même beaucoup que ce n’était pas seulement pour son optimisme que ce dernier pouvait bien la fasciner. Elle le regarda un instant sans rien dire. Etait-il nécessaire de répondre à la question enfin du moins à l’interrogation non formulé de ce dernier. Après un moment de reflexion, elle prit de nouveau la parole.

« Ca c’est une chose que tu dois sûrement savoir…est-ce que c’est avec ça que tu fais craquer d’habitude ? Telle est la question…c’est pas spécifiquement un point très sexy ou très craquant. Dans ton cas c’est peut être plus autre chose que ton optimisme. »

Il parlait encore et encore. Il avait heureusement pour Angeles, marqué une bref pause avant de reprendre son souffle mais tout le long où il avait prit le temps de s’exprimer, il n’avait pas quitté une seule seconde le regard de la jeune femme. La remarque suivante de notre chère Angeles, concerna alors le fait que ce dernier semblait vraiment avoir réponse à tout. Que quoi qu’elle puisse dire, ce dernier allait trouver quoi qu’il arrive une réponse à ses propos.

« Forcément en matière de sexe monsieur Benson est doué ! Aucun doute sur ce que tu dis bien évidemment. C’est ton terrain favori…à savoir si ce n’est pas le seul domaine que tu gères aussi bien. »

De la taquinerie bien évidemment. Le taquiner elle ne pouvait faire que cela ou alors le provoquer. Mais cela peut être autant voulu que du stress surtout vu le sujet dont il est question depuis qu’elle est arrivée chez Chris. Elle écouta avec curiosité et vraiment très intrigué par Chris ce qu’il était en train de dire. Elle devait lui promettre de ne pas le stopper. Elle fronça le regard et lui répondit posément mais toujours perplexe.

« Promis… »

Effectivement l’alcool commençait peut être à se rendre utile pour Angeles ou peut être était-ce juste le fait qu’elle commençait enfin à discuter et écouter l’homme qu’elle avait en face d’elle, ce qui lui permettait par conséquent de peut être oublier ce pour quoi elle était venu au départ. En affaire il était bon ? C’est vrai que c’est une bonne chose que d’être talentueux en affaire c’est mieux pour le travail quoi mais bon dans le cas où il est présentement avec Angeles et vu le sujet dont il était question au départ, c’est plus pour le sexe qu’il faut être doué et la persuasion verbale plutôt que les affaires.

« En même temps je pense que jusqu’à présent tu as plutôt eut des compliments positif à ce point plutôt que négatif…et puis on dit rarement ce genre de chose là en général. »

Détendue. Elle était un peu plus détendue que tout à l’heure et si au départ c’était encore une question que l’on se posait à propos de l’alcool là on peut se douter que ce liquide est tout de même un peu responsable du fait qu’elle est moins nerveuse. C’est tout de même fou comment l’alcool peut faire des miracles des fois. Enfin sans exagérer c’est tout de même assez utile pour diminuer l’anxiété. Sans prévenir, Chris se leva du canapé, il ne partit pas quelque part avant cela il se retourna vers Angeles et lui tendit la main. Elle était curieuse de savoir ce qu’il avait en tête, vraiment très intriguée par ce qu’il pouvait bien prévoir. Elle n’ajouta rien à ces propos, saisissant sa main elle le suivit, muette et curieuse. Ils montèrent alors les escaliers sans trop se précipiter. Il l’accueillit au deuxième étage de son loft. Ce n’est pas tout les jours que l’on voit un loft sur plusieurs étages mais bon vu l’argent que ce dernier a ce n’est pas non plus quelque chose de surprenant. Elle était cependant loin de s’imaginer qu’il pouvait y avoir ce genre de truc. Généralement à l’étage on place des chambres ou du moins des trucs de ce type.

Elle regarda alors l’endroit émerveillée et écouta de nouveau les propos de la personne chez qui elle se trouvait actuellement. Ils avaient laissé le premier verre au premier endroit où ils étaient mais Chris rattrapa le coup amenant un nouveau verre de vin à son invitée. Il voulait la soûlait ou c’était juste aimablement qu’il lui en donnait de nouveau un ? Peu importe puisqu’elle s’en saisit, elle en but quelques gorgées avant de s’arrêter. Avalant le contenu tandis que Chris lui murmurait quelque chose à l’oreille, restant pendant ce temps là derrière elle. Elle ferma les yeux l’espace d’un instant. Cette main sur sa hanche ce n’était pas du tout désagréable cependant il lui avait dit de penser à elle. Elle se tourna tout en se saisissant de la main de Chris et y déposa son verre de main dans celle-ci. Elle afficha un sourire et lui répliqua aussitôt.

« Allons-y pour un billard…cela fait une éternité que je n’ai pas eut l’occasion d’en faire un. Depuis mes années d’université. Peut être que j’arriverais à me remettre dans le bain et à battre monsieur Benson. »

Elle se précipita vers le lieu en question et se saisit d’une canne laissant Chris la rejoindre à son tour et préparer la table de billard.

Intéressant ? Ce dernier trouve plutôt intéressant s’il pouvait être complimenté sur ses performances au lit, sur sa capacité à rendre une femme ravie de ses activités sexuelles ? Tous les hommes sont-ils pareils ? Non cela ne peut pas être possible et puis si tous les hommes étaient pareils ce serait un peu la catastrophe pour les femmes. Incapable de pouvoir croire un seul homme. Certaines qu’ils sont tous pareils, qu’il n’en existe pas un pour rattraper l’autre. Que finalement la seule solution c’est de rester seule. Peut être bien après tout. Mais bon là n’est pas la question du jour puisque notre jeune femme ne compte pas lui faire de compliment sur ce point, elle lui a parlé précédemment et cela est bien assez. Elle va s’arrêter là du moins pour l’instant en ce qui concerne les compliments. Il ne faut pas se forcer de faire des compliments mais les dire parce qu’ils nous viennent en tête tout seuls, parce qu’ils sont pensé.

« Monsieur est un homme libéré…c’est beau à voir ! Disons que c’est pas non plus le genre de chose habituelle que de se complimenter là-dessus si ce n’est pas directement après des exploits. Enfin bref pas besoin de te faire un dessin. »

La suite du programme semblait se baser sur l’amusement, sur le fait d’oublier tout le reste pour Angeles et de se laisser aller. D’oublier sa vie de femme mariée et de faire quelque chose qu’elle n’a pas forcément l’habitude de faire depuis des années, c'est-à-dire penser à elle et rien qu’à elle. Chris avait proposé à notre chère Angeles de bouger de l’étage où ils se trouvaient. Elle allait donc découvrir un autre endroit du logement de ce bel homme. Elle se demandait bien ce qu’il pouvait sy trouvait et quand elle découvrir l’étendu de l’étage elle en fut abasourdie. La surprise n’était pas difficile à lire dans les yeux de notre jeune professeur. Parmi toute les activités possibles, notre chère Angeles avait opté pour le billard puisque cela faisait pas mal de temps qu’elle n’avait pas eut le loisir de s’y consacrer. Il voulait parler d’un pari pendant la partie de billard, elle n’avait vraiment aucune idée et pour plaisanter, lancée sans doute par le peu d’alcool dans le sang elle lança amusée.

« A chaque boule rentré par l’un, l’autre doit ôter un vêtement. Tu vas finir nu comme un ver Benson… »

Bien évidemment ce n’était que pure plaisanterie elle savait très bien que cela n’allait pas être le cas voilà pourquoi elle avait dit cela de manière amusée parce qu’elle n’avait pas la moindre intention de lancer ce pari réellement. Chris prit alors les choses en main et cassa le triangle formé par les boules de billard. Elle fit alors le tour pour rejoindre la boule blanche, elle se mit ensuite en place et tira afin de mettre une boule qui se trouvait plutôt bien placée.

Intéressant ? Ce dernier trouve plutôt intéressant s’il pouvait être complimenté sur ses performances au lit, sur sa capacité à rendre une femme ravie de ses activités sexuelles ? Tous les hommes sont-ils pareils ? Non cela ne peut pas être possible et puis si tous les hommes étaient pareils ce serait un peu la catastrophe pour les femmes. Incapable de pouvoir croire un seul homme. Certaines qu’ils sont tous pareils, qu’il n’en existe pas un pour rattraper l’autre. Que finalement la seule solution c’est de rester seule. Peut être bien après tout. Mais bon là n’est pas la question du jour puisque notre jeune femme ne compte pas lui faire de compliment sur ce point, elle lui a parlé précédemment et cela est bien assez. Elle va s’arrêter là du moins pour l’instant en ce qui concerne les compliments. Il ne faut pas se forcer de faire des compliments mais les dire parce qu’ils nous viennent en tête tout seuls, parce qu’ils sont pensé.

« Monsieur est un homme libéré…c’est beau à voir ! Disons que c’est pas non plus le genre de chose habituelle que de se complimenter là-dessus si ce n’est pas directement après des exploits. Enfin bref pas besoin de te faire un dessin. »

La suite du programme semblait se baser sur l’amusement, sur le fait d’oublier tout le reste pour Angeles et de se laisser aller. D’oublier sa vie de femme mariée et de faire quelque chose qu’elle n’a pas forcément l’habitude de faire depuis des années, c'est-à-dire penser à elle et rien qu’à elle. Chris avait proposé à notre chère Angeles de bouger de l’étage où ils se trouvaient. Elle allait donc découvrir un autre endroit du logement de ce bel homme. Elle se demandait bien ce qu’il pouvait sy trouvait et quand elle découvrir l’étendu de l’étage elle en fut abasourdie. La surprise n’était pas difficile à lire dans les yeux de notre jeune professeur. Parmi toute les activités possibles, notre chère Angeles avait opté pour le billard puisque cela faisait pas mal de temps qu’elle n’avait pas eut le loisir de s’y consacrer. Il voulait parler d’un pari pendant la partie de billard, elle n’avait vraiment aucune idée et pour plaisanter, lancée sans doute par le peu d’alcool dans le sang elle lança amusée.

« A chaque boule rentré par l’un, l’autre doit ôter un vêtement. Tu vas finir nu comme un ver Benson… »

Bien évidemment ce n’était que pure plaisanterie elle savait très bien que cela n’allait pas être le cas voilà pourquoi elle avait dit cela de manière amusée parce qu’elle n’avait pas la moindre intention de lancer ce pari réellement. Chris prit alors les choses en main et cassa le triangle formé par les boules de billard. Elle fit alors le tour pour rejoindre la boule blanche, elle se mit ensuite en place et tira afin de mettre une boule qui se trouvait plutôt bien placée.