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 |  Sujet: elastic heart. Dim 7 Juin - 10:41 | |
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Franky Lancaster ses yeux son regard, je n'oublierais jamais comme j'aimais son regard. http://sexandthecity@tumblr - kendji ~ je m'abandonne.
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NOM : Lancaster PRÉNOM : Franklin, Bryan Ronald Lancaster de sa vraie identité AGE : 31 ans ORIGINES : Américain pure souche, il connait new-york par coeur, bien qu'il ait vécu une partie de sa vie au texas STATUT : célibataire, encore et toujours MÉTIER : chauffeur routier, propriétaire d'un motel on ne peut plus pourri, dealer et boxeur à ses heures perdues TRAITS DE CARACTÈRE : lunatique, violent, méchant, connard, blessé, brisé, protecteur avec ceux qu'il aime (voir même un peu trop), bagarreur, impulsif ORIENTATION SEXUELLE : les femmes, riens que les femmes. Bien qu'une fois il se soit réveillé totalement nu à côté de Jimmy mais il est presque sur qu'il ne s'est rien passé. AVATAR : charlie sexy hunnam PV / SCENARIO OU INVENTE ? : inventé GROUPE : the fuck buddy Awful Truth 001. il déteste plus que tout au monde la café. 002. parfois il ne fait pas exprès d'être méchant, parfois oui. 003. il a déjà songé à se suicider, mais il n'a pas assez de courage pour faire ça, c'est en grande partie pour cela qu'il maltraite si souvent tout ce qui l'entour ainsi que son propre corps. C'est si facile de fracasser un meuble, de péter une mâchoire et de se briser les phalanges.. 004. il a une soeur jumelle, Nikola, surnommé Nikky qu'il aime plus que tout au monde, ainsi qu'un petit frère Jimmy avec qui il entretient une relation très explosive. Et enfin, il y a la petite dernière, sa petite princesse qu'il surprotège de tout au point qu'elle le déteste, Ally. 005. De toute façon aucun ne peut nier, ils se ressemblent tous tellement que même un aveugle capterait le mensonge à des kilomètre à la ronde. 006. Etant jeune, il a fait pas mal de chose dans sa vie professionnel: mécanicien, employé multi-fonction dans un fastfood, dealer... Mais voilà maintenant une dizaine d'années qu'il est chauffeur routier, et environ huit ans qu'il est propriétaire d'un motel vraiment pourri. 007. il a une mémoire de poisson rouge, surtout en ce qui concerne les prénoms des gens. 008. il a pour habitude de s’asseoir en hauteur, par exemple sur le rebord d'une fenêtre du dixième étage ou bien sur le toit d'un building, regarder le ciel, le vide et se griller une clope. 009. il ne se regarde jamais, ou grand jamais dans un miroir, car il ne supporte pas de voir la bête, le monstre qu'il est devenu. Là dernière fois qu'il a croiser son propre regard, le miroir c'est retrouvé en milles morceaux.. 010. il joue de la guitare et chante. Enfin, il fredonne plutôt, selon lui n'a pas de talent, mais certains prétendent le contraire. 011. Il a frôlé plus d'une fois la mort: overdose et noyade. 012. Il est encore et toujours, et pour toujours amoureux de la même femme. Cette même femme qu'il a temps blessé à l'époque et qu'il a refoulé sans même vraiment s'en rendre compte. Trop tard, ils 'est rendu compte qu'il avait son coeur entre les mans et qu'il l'a brisé. Et c'est pour ça qu'il méprise et brise tout ce qu'il est et tout ce qu'il entoure. 013. Il a joué au football étant plus jeune, et continue encore de temps en temps.Was It Good for You ? franky a 20 ans. Il faisait froid en ce début de mois de janvier. Ou peut-être pas tant que ça, parce que l’abus d’alcool et de drogue circulant dans ses veines rendait les choses beaucoup plus facile. Mais il avait beau être dans un état pathétique, Franklin avait conscience que depuis maintenant dix minutes, il n’était autre qu’un sdf. Il laissa échapper un soupire, un juron, et gratta sa barbe de trois jours. Maria venait de le foutre à la porte. Pourquoi ? Parce qu’il passait ses journées à fumer du shit plutôt qu’à s’occuper d’elle. De toute façon, il ne l’aimait pas. C’est ça son problème, quant il n’aime pas, il n’arrive pas à faire semblant. Les faux compliments, les faux sourires, c’est pas son truc. Au contraire Franky c’est plutôt le genre de type à te dire : t’es moche. Même si ça te blesse. Lui, il s’en branle, au moins, il aura été sincère. Et c’est une chose qu’on ne peut pas lui reprocher.
S’asseyant sur le trottoir, il observe un moment la rue s’éveiller. Le marchand de journaux qui ouvre les portes, la voisine d’en face qui sort acheter son pain, et le mec du troisième qui vomi derrière un murée après avoir passé une nuit sans doute agitée. Un autre soupire. Il n’est même pas triste. Les galères, il connait depuis tout petit. Oh non, n’allez surtout pas vous imaginer qu’il a été abandonné, maltraité, violé, battu ou quoi que se soit d’autre… Non, c’est juste que Franky ait un caractère de merde et semble être un aimant à enmerde.
New-York, il aime et il déteste cette ville. Comme il aime et il déteste beaucoup de chose. Mais Franky, c’est plus le genre à te dire ce qu’il n’aime plutôt que ce qu’il ‘aime. Il se sentirait trop faible d’avouer une quelconque attirance pour quelque chose. Un nouveau soupire, il sort une cigarette écrasée de la poche de son jean et l’allume en même temps que la sonnerie de son téléphone portable retentit. Le prénom de Nikky s’affiche. Sans doute la seule, l’unique femme de sa vie, avec Ally. « Salut sœurette, tu tombe bien, j’allais t’appeler. » annonce-t-il inondant sa vision de la fumée sortant de ses lèvres. « C’est fini entre Maria et moi, et j’ai réfléchi, j’ai décidé que j’allais descendre au Texas voir papa et Marilyn. » Il n’a pas réfléchi du tout, il vient de se décidé là sur le coup. C’est du Franky tout craché. Pas du tout le genre de mec à paniquer, à planifier ou quoi que se soit d’autre. Fran, la vraie mère de Franky, Ally, Nikky et Jimmy a décidé de divorcé peu de temps après la naissance d’Ally, la dernière, et depuis, il a la « chance » de la voir une fois tous les deux ans. Son père, Fitz c’est remariée avec une prénommée Marilyn qui aurait tout pour être la mère idéale, si ce n’est qu’elle n’est pas leur mère. Et suite à ce mariage, ils ont décidé de quitter New-York et de vivre au Texas, afin de se rapprocher de la famille de Marilyn. Les enfants eux, ont tous décidé de rester vivre à New-York. Sa mère la vraie, Fran, était le genre de femme peut fréquentable, et Franky a hérité pas mal de chose venant d’elle : ses yeux bleus, l’absence de sourire et surtout son caractère de merde.
Il continue à échanger quelques paroles avec sa sœur jumelle et finit par raccrocher. Alors comme ça il va allait vivre au Texas ? Quelle idée de merde il vient d’avoir. Il va bientôt avoir 21 ans et il ignore ce que ça lui fera de retourner vivre sous le même toit que papa et maman après trois de liberté. Un nouveau soupire, il se lève et frappe se dirige vers la porte de son désormais ancien chez lui, et frappe quelques coups. « Putain Maria, laisse-moi au moins prendre mes affaires. »
franky a 21 ans.« Une fête de village ? » demanda Franky arquant un sourcil. « Tu veux m’emmener à une fête de village ? Le genre d’endroit ou il n’y aura que des vieux et ou je risque de me faire chier pendant des heures ? » Son père hocha la tête, bouclant la ceinture de son pantalon. « Il y aura ton cousin Ludo… » Cousin qui ne l’est pas réellement puis-ce qu’il fait parti de la famille de Marilyn et non de celle de Franky. Il n’y a donc pas de lien de sang entre eux. Un soupire, et d’un geste Franky recouvre son torse d’un débardeur blanc. Le mis de juin et relativement chaud, et ça fait depuis janvier qu’il ait au Texas, vu son caractère de merde il ne connait encore pas grand monde a part les quelques voisins du quartier qui ont le double, voir le triple de son âge. Mais il n’est pas sur que le fait d’aller à la fête du village agrandira son cercle d’ami restreint. Toute façon, il s’en fiche d’avoir des amis ou pas. La solitude ne l’a jamais effrayé, au contraire.
Assis sur un banc, entrain de griller au soleil et de boire une bière beaucoup trop chaude, il observe le petit monde autour de lui. Il avait raison, une majorité de personne dont l’âge est plus proche de celui de ses parents que le sien. Pourtant, il fait l’effort surhumain de rester là, à attendre que son père se décide à rentrer. Ruminant, lâchant un de ses fameux soupire, il se lève, se dirigeant vers le stand de nourriture derrière lequel se trouve son soi-disant cousin Ludovic. « On cherche des joueurs pour l’équipe de foot du village ça te dit ? » Il hausse les épaules. Pourquoi pas, au moins ça l’occupera. « Je me fais vraiment chier ici. » fait-il remarquait. Il s’accoude au comptoir observant les groupes de personnes discuter entre elles. « Que des vieux pas la moindre trace de… » Et en balayant la foule du regard, ses yeux se pausèrent sur deux jeunes femmes entrain de discuter avec des personnes nettement plus âgées. « C’est qui ? » demanda Franky en désignant les deux filles d’un signe de tête. « La rousse obèse, elle s’appelle Anna, elle est sympa mais clairement coincée. Et la brune à demi obèse, j’en ai pas la moindre c’est la première fois que je la vois. » répondit Ludo. Franky sourit en entendant les mots utilisés par son cousin pour qualifier les deux jeunes femmes, bien qu’à ses yeux la brune n’avait rien d’une demi-obèse, elle avait des formes, tout ce qu’il aimait. Il but une gorgée, les quittant du regard un moment. « Tu devrais demandait à ton père, on dirait qu’il les connait. » Levant les yeux, Franky remarque que les deux jeunes femmes venaient de changer de place, se retrouvant dans le même cercle de personne que son père, la brune étant d’ailleurs entrain de lui faire les bises et de lui adresser un grand sourire. « Je passe à l’attaque » décréta-t-il en laissant sa bière vide sur le comptoir et se dirigeant vers son père.
D’habitude, il passe vraiment à l’attaque, il ment, il joue avec les femmes, d’habitude il lui faut généralement peu de temps pour les avoirs dans son lit, d’habitude il trouve les mots. Mais à ce moment précis ou il s’arrête à la hauteur de son père et que son regard croise le regard clair de la jolie brune, il comprend que cette fois-ci se sera différent. Il s’apprêtait à jouer au beau parleur, à sortir son baratin habituel, mais finalement aucun mot ne sort de sa gauche. Et c’est son père qui semble surpris par cette attitude de la part de son fils, qui prend les choses en main. « Anna, Caroline, je vous présente mon fils Franklin, il habite depuis le début de l’année avec nous. »
Caroline. Caroline avait de long cheveux châtain clair et de magnifiques yeux bleu/gris. Caroline portait du 42 voir du 44 dans ses vêtements. Caroline avait une poitrine généreuse, et quelques bourrelets débordant du pantacourt noir qu’elle portait. Caroline avait un sourire magnifique qui ne quittait que rarement son visage. Caroline était belle, mais sous les yeux de Franklin elle semblait n’être qu’une petite chose affreusement timide et s’embrasant au moindre regard. Il remarqua ses joues rougir au moment ou il lui adressa un sourire, ainsi que la façon probablement nerveuse qu’elle avait de remettre une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Caroline. Pour la première fois de sa vie, trop intimidé par cette demoiselle, il n’osa pas faire le premier pas. Pour la première fois de sa vie, bien qu’elle savait parfaitement qu’elle n’avait aucune vraiment aucune chance, parce qu’un type comme Franklin ne devait probablement pas s’intéressait à une fille comme elle, Caroline osa faire le premier pas et engagea la conversation.
La vie de Caroline était des plus banales, et elle semblait fascinée par celle de Franklin. Sans la moindre retenu, sans savoir pourquoi il se sentait en confiance et lui raconta tout. Comment sa mère, la vraie était parti, comment il avait déjà saccageait une chambre tout entière, comment son ex l’avait mis à la porte, comment il avait frôlé la mort en se noyant (il ne précisa pas que s’était pour sauver un bambin de quatre ans), ou bien comment il s’était retrouvé à suffoquer en croyant que son heure était venu après avoir consommé trop de drogue. La vie de Franky n’avait plus aucun secret pour Caroline, et elle encaissa tout sans jamais le juger. Et sans même se rendre compte, il tomba amoureux d’elle. Et ça, c’est effrayant.
Mais amoureux ou pas, un connard reste un connard. Franklin reste Franklin. Méchant, blessant, lunatique. Et ça commence à briser Caroline qui est totalement amoureuse de lui. Elle devient collante, pause trop de question. Et il s’énerve. Il dit des choses blessantes sans forcément s’en rendre compte. Il la laisse tomber, et finalement il recouche ensemble. Il se resépare, puis revienne l’un vers l’autre. A nouveau il s’éloigne et revienne l’un vers l’autre. C’est comme ça, on s’aime pendant deux semaines on s’engueule et on se fait la tête pendant trois semaines avant de revenir… Jusqu’à ce que se jeux s’arrête jusqu’à ce qu’elle en ai marre de souffrir. Jusqu’à ce qu’il se rende compte qu’il lui brise le cœur, jusqu’à ce qu’elle éclate en sanglot devant lui en lui disant à quel point elle est mal. Caroline est une jeune femme, bonne vivante, douce, qui était vierge à leur rencontre, Caroline a besoin d’amour et douceur, elle est du genre à croire au prince charmant… Et au lieu de ça, elle se retrouve folle amoureuse de Franky qui n’a rien, vraiment rien de charmant. Alors qu’il se sépare une énième fois, elle prend la décision la plus dure qu’elle a à prendre : celle de ne plus revenir vers lui.
PSEUDO/PRENOM : caro AGE : 21 ans OU AS-TU CONNUS LE FORUM : bazzart FREQUENCE DE CONNEXION : le plus souvent possible AUTRE : écrire ici
Dernière édition par Franky Lancaster le Dim 7 Juin - 20:02, édité 6 fois |
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Je te réserve Charlie pour cinq jours 
Tu peux soit demander un délai ou revoir ton idée de personnage si celui-ci ne t'inspire plus. Si nous n'avons pas de nouvelles d'ici trois jours, ton compte sera supprimé.